jeudi 13 mars 2008

Sectarisme, sectaire, sectes, sexe, dans leur rapport à la perversion, ou père-version.

Une fois n'est pas coutume, un extrait:

"Depuis sa publication en Janvier 1996, le contenu du rapport de la commission d’enquête n’a cessé d’influencer les réflexions et les décisions des autorités politiques et administratives. Malheureusement, ce fut au détriment de la liberté de conscience, de religion et des droits des 172 minorités citées dans le rapport.

Dans bien des cas, il suffit de faire remarquer qu’une association spirituelle figure sur la “liste noire” parlementaire pour que ses membres subissent un traitement discriminatoire. Les témoignages sont chaque jour plus nombreux : des membres de ces groupes sont évincés d’un emploi public ou privé, se voient refuser le droit de passer un contrat avec l’administration, d’exercer leur art, d’utiliser des équipements municipaux ou des salles de concert. Ils peuvent être victimes de boycotts économiques et il leur arrive d’être dénoncés en public. Ces agissements sont tolérés si ce n’est suscités par des fonctionnaires de l’Etat ou des élus."

.....

"Nous sommes aujourd’hui en droit de demander sur quoi reposaient les conclusions de la commission d’enquête parlementaire, reprises dans un rapport aux conséquences désastreuses. Comment la liste des “sectes” fut-elle réellement compilée ? Qui en fixa les critères, et à partir de quels faits ?

Car ce rapport n’est pas seulement une étude bâclée : il a été vivement critiqué par plusieurs organisations de défense des droits de l’homme et de nombreux universitaires spécialistes du domaine religieux qui ont étudié les méthodes de travail, les conclusions et les recommandations de la commission.

De plus, par quatre fois au moins, des tribunaux français ont réfuté toute valeur juridique au rapport parlementaire."

lire l'intégralité:

http://la-liste-noire.nouvelle-religion.fr/index.html

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