jeudi 31 janvier 2008

sous-couches

PRATIQUES DE LA FOLIE

Une fois n'est pas coutume, je vous fais part aujourd'hui d'une annonce trouvée dans mon courrier, très intéressante en ce qu'elle tempère ce que j'ai lu il y a quelques jours dans Libération (1) , sur le fait d'un certain oubli des travaux de Michel Foucault dans le champ clinique, comme ailleurs.

DK


(1) Laurent Joffrin écrivait, le 29/01/08: "La compétence et le dévouement des médecins ne sont pas en cause. C’est l’indifférence générale de l’esprit contemporain qui a aggravé la maladie de sa sœur, broyée par une machine que l’impéritie collective a livrée à elle-même. Quarante ans après Mai 1968, l’héritage de Michel Foucault s’est perdu. Avec ses armes pacifiques, sa souffrance, sa caméra et sa conviction, Sandrine Bonnaire a commencé de réveiller les consciences." [http://www.liberation.fr/actualite/societe/306737.FR.php]



PRATIQUES DE LA FOLIE

www.pratiques-folie.com




Séminaire 2007-2008 : Vérité, parole, politique.

Vendredi 15 février 2008,

à 21h, Amphi de la CMME, 100 rue de la Santé

Ce que Foucault fait aux concepts de sujet, de vérité et de philosophie.

par Frédéric Gros

La publication des derniers cours de Michel Foucault au Collège de France ne cesse de faire événement pour tous ceux qui, à un titre ou un autre, ont affaire à ce qu’il appelait la « fonction psy ». Que cet ordre de discours produise des régimes de vérité qui s’imposent à quiconque y prend la parole est souvent méconnu par les psychanalystes, qui font pourtant désormais l’objet de la sollicitude du législateur. Il s’agit d’en prendre acte et, du coup, d’engager avec Foucault une dispute véritable.

Frédéric Gros, philosophe, professeur à Paris XII, a établi le cours de 1982-1983, intitulé Le gouvernement de soi et des autres qui vient de paraître au Seuil. Il se propose d’en développer une lecture, dont on lira ci-dessous l’argument.

A la suite de quoi, Franck Chaumon et Jean Allouch ouvriront à la discussion.

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Ce que Foucault fait aux concepts de sujet, de vérité et de philosophie

En 1983, après avoir étudié l’année précédente la notion de « souci de soi » (L’herméneutique du sujet, Gallimard-Le Seuil, 2001), Foucault consacre une année de cours au collège de France à expliciter le concept antique de « franc-parler » (parrêsia). A l’occasion de la publication de ce cours (Le gouvernement de soi et des autres, Gallimard-Le Seuil, janvier 2008), j’essaierai de dégager les enjeux philosophiques de ces problématisations. C'est-à-dire au fond : ce que Foucault fait aux concepts de sujet, de vérité et de philosophie.

C’est d’abord une nouvelle pensée du sujet, qui s’oppose aussi bien aux grands discours de la philosophie occidentale sur la subjectivité, de Descartes à Husserl, qu’aux techniques dominantes de la confession : un sujet qui ne soit ni fondement de la connaissance, ni source constituante d’une intimité psychologique.

C’est ensuite une nouvelle pensée de la vérité. La production de vérité relève moins, avec ces recherches, d’une épistémologie que d’une technologie d’une part (ce que Foucault avait déjà affirmé dans les années soixante-dix), mais encore d’une éthique : la vérité exige du courage plutôt que de la lucidité. Faire du courage la condition de la vérité va signifier pour Foucault s’inscrire dans l’héritage des Lumières telle que Kant les définit. D’autre part, la vérité n’est plus comprise comme ce qui doit structurer un discours, mais mettre à l’épreuve une existence.

Enfin, Foucault propose une nouvelle conception de la philosophie. Elle se comprend d’abord comme une réponse à une convocation du présent plutôt que comme répétition d’une ouverture originaire, et comme liée d’une manière simultanément irréductible et extérieure à la politique.

Il s’agira donc, en présentant ce cours de 1983, de déplier ensemble le sens d’une série de notions : techniques de soi, pratiques de véridiction, jeux de vérité, parler-vrai, diagnostic du présent, courage de la vérité. On verra en quoi tout ce jeu de concepts permet à Foucault de se situer vis-à-vis de deux de ses grands contemporains : Derrida et Habermas. Il s’agira aussi et enfin de dégager, en bout de parcours, une conception nouvelle de la réalité.

Frédéric Gros


mardi 29 janvier 2008

de nos amours...

20080128 - INPES ET DEPRESSION - 9 QUE RESTE-T-IL, DE NOS AMOURS?

En retard, je suis toujours en retard... Mais à quelque chose malheur est bon: le lien sous le titre ci-dessus renvoit à l'interview de Jacques-Alain Miller par Eric Favereau dans le quotidien Libération du 19 Janvier. (Cliquez sur le titre pour le lire...)

Pourquoi donner à lire cet interview quelques jours après sa parution? Tout simplement parce qu'il reste d'actualité. Il y a bien sûr quelques ponts-aux-ânes, ("Miller controversé"? Miller controversé, Miller contesté, Miller détesté, mais Miller libre!), mais s'agissant de lui, il n'est rien de plus assuré qu'il y ait quelque lien avec l'âne, et du reste , on préfère ici n'importe quel âne à l'ANAES, de triste mémoire pour les psychanalystes, mais pas seulement pour eux, parce qu'avec la mise en place des protocoles d'évaluation, de soins, et leur généralisation, l'hôpital se moque de la charité, et plutôt que de parler de généralisation de ces protocoles, c'est à se demander si le terme de maréchalisation ne conviendrait pas mieux.

Donc, Mutualité, Mutualité, et Mutualité...

Ce qu'il reste de nos amours? Une chanson de Trenet pour les uns, la dépression généralisée pour les autres...


Jacques-Alain Miller a dit : "se replier serait mortel pour la psychanalyse"; alors déplions-nous mutuellement!

DK

liens url:

1) titre: http://www.liberation.fr/transversales/weekend/304830.FR.php
2) lien avec l'âne: http://forumpsy.blogspot.com/
3) on préfère: http://www.has-sante.fr/portail/display.jsp?id=j_5
4) mutualité 1: http://forumpsy.blogspot.com/2008/01/lindustrie-du-mdicament.html
5) 2: http://forumpsy.blogspot.com/search/label/La%20campagne%20info-d%C3%A9pression
6) 3: http://forumpsy.blogspot.com/2008/01/communiqu-19-20.html
7) chanson de Trenet pour les uns: http://www.youtube.com/watch?v=6Q1XoKwXvCY

jeudi 24 janvier 2008

troubles de l'attention

20080121 IHEP - frdm au ministre de la Santé, chargé de la vie Associative, Roselyne Bachelot-Narquin - Courrier à l’attention du Directeur de Cabinet

Etant donné l'importance de cet évènement extraordinaire, à savoir le courrier de l'IHEP-frdm au Ministre de la Santé, j'emploie également un moyen extraordinaire pour le relayer, en reprenant le titre tel quel afin qu'il soit mieux répertorié, et en répercutant l'information par le biais du lien URL qui se trouve sous le titre ci-dessus, de sorte qu'il ne vous reste qu'à cliquer sur le titre pour aboutir à la page LTA en question; comme vous le savez si vous lisez de temps à autre ce blog, j'attache une grande importance aux travaux de FRDM, qui gagne(nt) à être connu(s).

Je dois donc m'excuser auprès de lui comme de vous de cette manoeuvre en miroir. Subissant actuellement une panne d'adsl j'ai quelques difficultés à produire et diffuser commentaires et réactions à ces différentes actualités. Je rappelle tout de même à ceux qui arrivent sur cette page un peu par hasard au fruit des agrégateurs, que la discussion qui se joue actuellement, sur l'efficacité réelle des psychotropes et autres antipsychotiques, est très importante et qu'elle ne peut en aucun cas être dissocié d'une dimension politique ou de politique sociale.

Il est malheureusement tout à fait probable que Jacques-Alain Miller ait encore une fois de plus raison sur le point qu'il souligne, à savoir que seule la quantification des participants au grand meeting pour la psychanalyse à la Mutualité les 9 et 10 février 2008 serait de nature à acquérir une dimension de signe pour "le Président de "notre" République. Là où les idées noires prennent utilement le relai de la déprime programmée, c'est à savoir si la dimension du signe est la seule que des psychanalystes aient à soutenir face à "ça". Je pense bien que non. Mais la réunion à la Mutualité est un bon début, parce qu'une chose est assez claire, c'est qu'il s'agit là des commencements.

Voilà, j'en ai assez dit pour l'heure, et dans les conditions où je suis.

Cordialement,

DK

vendredi 11 janvier 2008

l'inventeur de la moustache

Durch le p'tit Dick - complément antérograde de ce qui précède

... Complément antérograde, qu'est-ce à dire ?


Que le texte qui suit, ci-dessous, a précédé, sur Oedipe, (cliquez sur le titre pour y aboutir), le texte qui suit, au dessous, sur ce blog, (Zwischen le p'tit Hans), de sorte qu'avec le déroulement anté- chnronologique du blog, l'ordre spatial est rétabli dans le temps... En somme, il le précède, et il le suit, ce qui est une sorte d'évidence si lon veut garder à l'esprit que le cas de Freud, Hans, précède et conditionne celui de Mélanie Klein, Dick. Le comble eût été évidemment que Mélanie nomme son cas joyful, ou merry, ou mieux encore, gay Dick... Pas trop déroutant, Félix ?


7/01/06


" un rien trop('tit), à un (trop'tit) rien"...


un rien trop: zu kein; à un rien: zu kein; cette traduction vaudrait donc pour:

"zu k(l)ein, zu k(l)ein", "zu" pouvant désigner également une destination. Elle est traduction de ce que Freud a écrit, mais pas forcément de l'interprétation à laquelle il pensait nous conduire... Ce qui amène question et nécessité de commentaire. Je propose donc la f(r)iction suivante:


Conversion amusante:


comme chacun sait à Vienne le "g" se prononce assez près du "k".


De sorte que dans l'expression que Freud écrit "zu k(l)ein, zu k(l)ein", qu'il retranscrit à partir d'une matière sonore émanant de la bouche d'un petit garçon, aurait pu également être entendue comme "Zug(l)ein, Zug(l)ein", qu'on pourrait traduire par, "train p'tit, train p'tit", comme ritournelle; mais Freud nous renvoyant à k(l)ein dans sa transcription, on ne peut qu'être saisi par le fait du sort fait, bien ultérieurement, au p'tit train du little Dick de Mélanie Klein, surtout si l'on sait que celle-ci était en analyse chez Freud et fort amie avec sa fille Anna, et que l'on garde à l'esprit que "dick" en allemand et en anglais, ont un sens populaire qui n'a rien avoir avec le diminutif de Richard. Le Zuglein que Freud n'a pas entendu chez 'devinez qui' n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde, mais gare, gare à l'interprétation du p'tit train en gare, d'autant que le "train" anglais n'a pas l'extension sémantique du "train" français nettement plus libidinalement chargé. On risquerait alors d'être conduit à penser qu'il y aurait eu transmission d'une surdité, puis répétition, dans la mesure où il n'est tout de même pas anodin que Mélanie ait justement choisi ce pseudonyme de "Dick" pour son jeune patient, dont elle ne pouvait ignorer le sens en langue vulgaire. La surdité transmise aurait bel et bien porté sur le signifiant /zukklahín/, avec les effets de ratages de l'interprétation qui s'en sont ensuivis, de la théorie des équivalences phalliques à celle de l'interprétation directe du phantasme qui se construit hâtivement sur sa base...


Il n'est donc guère facile de traduire sans être en état de parti pris théorique; j'opterais plutôt pour celui d'un Freud vérace et faillible que pour celui d'un Freud omniscient, maître de son écriture mais scientifique raté. C'est pourtant cette version de Freud qu'on nous tend par-ci par là, celle d'un Freud crédule, plutôt que celle d'un Freud en contrôle dans son écriture. La question qu'il faut poser au lecteur comme au traducteur est donc bien celle de la position prise par rapport à Freud, celle de l'esthète, de l'élève ânonnant ou celle du contrôleur. À chacun de voir celle qui est requise pour une lecture psychanalytique, et qui ne vaut pas que pour Freud… fort heureusement, nous sommes également fondé à lire Lacan comme il a lu Freud, sans cesser d’être freudien, puisqu’il l’était tout à fait rigoureusement.



Didier Kuntz



mardi 8 janvier 2008

tramway sans phobie des cheveux

Zwichen le p'tit Hans - une lecture transverse de la présentation freudienne et de ses élisions.

Pour Félix, à la suite de notre discussion, il y a quelques jours, à Strasbourg, sur les «Cinq psychanalyses 1» de Freud, il faut bien réexumer ce texte d'où il gisait 2, pour marquer le coup ; tu verras, cher Félix, un bref exemple de cette tour de Babel que produit la rencontre de personnes qui sont prises dans des traditions où les codes de lectures sont différents; mais, tout de même, cette résurgence que je provoque de cette discussion qui a eu lieu, il y a quelques années, c'est dans l'espoir que cette fois-ci il y aura quelques personnes pour télécharger les deux pages d' Oedipe, qui en représentent environ vingt cinq en format habituel, et lire l'ensemble, très savoureux, des interventions : pour nous avoir permis ces échanges, encore un grand merci à Laurent Le Vaguerèse, avec mes meilleurs voeux pour son site 3 cette nouvelle année.

Et il se trouve, petite touche de nonsense de lune-bévue, que cette publication se produit exactement deux ans après celle d'Oedipe ? Ce n'est pas que de la suite dans les idées, mais aussi que pour une raison ou une autre, les dates fassent signe ...



8/01/06



Zwischen le p’tit Hans.


Je salue bien Michel Luciani dont je n’avais pas lu la plus récente réponse à Serge Hajlblum au moment d’envoyer « durch le p’tit Dick ». Avec une question : comment traduirait-il « abzugswehren », au cas où l’erreur de frappe de Serge Hajlblum aurait respecté l’homophonie du texte qu’il a reproduit ? La question de la traduction de Freud a évidemment quelques particularités du fait des conséquences de la traduction sur l’interprétation rendue possible ou laissée de côté par les choix de traductions, si éclairés soient-ils.


Les règles de composition de mots en allemand ne posent pas particulièrement de problèmes sinon de fluidité de la langue à la traduction ; il s’agit de génitifs marqués par la suppression de l’espace entre les mots, le second étant soumis au premier, qu’il s’agisse d’appartenance ou de complémentation partitive. De sorte que si le « s » de « Vorstellungsrepräsentanz » est effectivement un « Fugen-s » et non la marque d’un génitif saxon, il ne paraît pas que le traduire par « représentant-représentation » comme font Laplanche et Pontalis soit plus particulièrement exact ou limpide que les termes de « représentant de la représentation » …



Je voudrais cela dit en revenir à ce qui fait l’intérêt de cet échange, à savoir la question de savoir comment lire Freud, traduit ou non.


Je pars de cette remarque : l’élision du (l) de « klein », dans la transcription qu’en fait Freud « zu k(l)ein, zu k(l)ein », fait apparaître qu’il y aurait eu une sorte de forçage de sa part, à introduire ce (l) élidé à son entendement, pour tirer l’interprétation du côté de la comparaison phallique. L’hypothèse d’un frère plus âgé, incapable de prononcer cet « l », me semble en effet relativement improductive.


On peut également penser que cette élision de sa part aurait été une marque d’ironie, à la fois une moquerie adressée à son jeune frère pour le faire enrager de sa maîtrise imparfaite de la prononciation, également l’évocation du « Zuglein », du petit train qui était peut-être l’objet du désir du petit Hans, plutôt que le cheval de bois offert par son parrain, à la place d’une girafe autrement plus proche du singe (« Giraffe, Gir-Affe ») . L’intérêt de ce jeune garçon pour les tramways, (wegen Wagen), ne laisse pas de doute sur la présence signifiante de l’expression « die Pferde hinter den Wagen spannen », (« entraver le cheval à l’arrière de la voiture », soit « mettre la charrue avant les bœufs ») ; surtout si l’on veut bien se souvenir qu’il existait encore des tramways tirés par des chevaux, ou placés à l’intérieur d’un wagon (« Wagen ») sur une bande roulante. Sans doute peut-on se hasarder (« sich wagen ») à dire que Freud monte sur ses grands chevaux, («sitzt sich aufs hohe Pferd »), en laissant tomber le « Zug » ; le reprendre donnerait ceci :


Soit


« Zuglein Zuglein Zuglein Zuglein… »

(petit train petit train petit train)

soit


« Zug kein Zug kein Zug kein Zug… »

train pas de train pas de train pas de train…)


où l’on entend très bien le tchouc tchouc caractéristique du « Strassenbahn », (tramway électrique), qui manque au « Pferdebahn », (tramway à chevaux). Alors que disait-il, le grand frère, outre le sens que Freud attribue ?


Entre (zwischen) le p’tit Hans et Freud, il y a la question que pose cette élision du « l » ; parce que si l’on élide cette même lettre dans le nom donné par la traduction à ce qui fait cas pour Freud, on tombe sur une autre question. Freud n’écrit pas « le petit Hans », le titre est autre; eût-il procédé à la même élision dans l’écriture du cas, nous nous serions confronté à « der k(l)ein Hans », au « pas de Hans », au fait que l’apparition de Hans tient au désir de ses parents : Freud n’est pas sans lui répondre, « j’ai toujours su qu’un jour… ».


À la manière dont Hans traitait son père dans ses moments de rage, « toi table, toi chaise… », peut être son frère l’assigne-t-il au train, au petit train, au petit, au klein, au rien, au kein. Du moins les traductions ne nous laissent elles pas ces potentialités fermées (zu) ; on peut espérer qu’elles ne nous laissent pas fermés au p’tit (rien), (« zu k(l)ein »).


Parce qu’à donner ces « l », Freud, qui ne les a pas entendus, ouvre plus tard ses portes à Mélanie Klein, qui se précipite dans l’ouverture faite par la psychanalyse naissante à la notion d’équivalence symbolique, notion bien évidemment forcée et qui mène au forçage, puisqu’il n’y a d’équivalence qu’imaginaire, et d’ordre que symbolique. La confusion se produit sur l’assimilation de la réflexivité à la symétrie, alors que la distinction s’opère entre symétrie et anti-symétrie. C’est peut-être embêtant de rappeler ici ces notions dans leurs sens mathématiques, mais en tout cas cela ne nous fera pas perdre l’associativité de lalangue…


Ce qui revient à dire qu’on ne peut plus guère traduire Freud après Lacan en omettant ce qu’il rappelle du travail de la langue, si l’on cherche à traduire ce que Freud nous dit de l’inconscient. Voilà, c’est une question, là, sur le tapis. Une question de « profane » 4.


D.K.

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1http://fr.wikipedia.org/wiki/Cinq_psychanalyses

2En fin page à cette adresse : http://www.oedipe.org/forum/read.php?8,7750

3http://www.oedipe.org/fr/accueil

4http://www.manifestepourlapsychanalyse.org/archives.htm